Lumières sur New Decade

 

Créé en 2010, New Decade est une formation rock tout autant influencée par la vague britpop des années 90 comme Oasis, The Verve ou encore Radiohead que le rock US comme Pearl Jam et Soundgarden. Après l'enregistrement du single "Ashley" en 2011, le groupe enchaîne les scènes et participe à divers tremplins. New Decade travaille sur un album, attendu courant 2013 et prépare de nouvelles dates. Avant de pouvoir les découvrir en live, retrouvez dans la vidéo ci-dessous leur interprétation de "Dead Elvis" lors du Wolfest à la Machine du Moulin Rouge en avril 2012 :

  LE GROUPE :

    Chant et clavier : Thibaut

    Guitare et choeurs : David
    Guitare et choeurs : Arthur
    Basse et choeurs : Nicolas
    Batterie et choeurs : Fabien
    Style : Rock

INFLUENCES :

    Oasis, The Verve, Radiohead, Pearl Jam, Soundgarden, BRMC.

ALBUM OU MAXI :
    Album prévu pour 2013.
    Single "Ashley" en écoute sur le site officiel du groupe.
     
EN UN MOT :
    L’alchimie entre riffs entêtants et rock fédérateur, guitares et clavier en étendard.
 

LES TROUVER SUR LA TOILE :

     Facebook : https://www.facebook.com/pages/New-Decade-The-Band/165477140144940
     Site : http://www.newdecade.fr/

 

 

  

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Chronique : Green Day - "¡Dos!"

Après « ¡Uno! », place à « ¡Dos! » ! Les fans de Green Day savent depuis longtemps que la bande de Billie Joe Armstrong a décidé de revenir avec un trilogie en cette fin d'année 2012. Après un premier volet que nous avons apprécié, voici notre verdict sur « ¡Dos! ». Plusieurs qualificatifs nous viennent à l'esprit pour qualifier ce disque : deuxième album des Foxboro Hot Tubs (le deuxième groupe formé par les membres de Green Day), disque rock garage, cohérence, audace musicale, sexe, drogues et rock'n'roll ! Nous allons détailler au cours de la chronique ces divers points. Le disque démarre tout d'abord avec une petit ballade acoustique, « See You Tonight », lorgnant un peu du côté de Bob Dylan. Ensuite, nous entrons dans le cœur du sujet avec « F*** Time » car oui ce disque traite de thèmes plutôt légers comme la fête et le sexe. Un disque fun et décomplexé à l'image de ce morceau très rock des sixties à l'arrière goût de Beatles.

On revient ensuite un peu en terrain connu avec « Stop When The Red Lights Flash », qui démarre par un bouillant solo de batterie. Premier coup de cœur sur « Lazy Bones » : bon petit morceau rock efficace qu'on a déjà hâte d'entendre en live. Est-ce le fait que Mike Dirnt soit à l'honneur sur la pochette du disque ? En tout cas, sa basse est bien présente sur plusieurs morceaux et ça fait plaisir à entendre ! Le calme revient peu à peu avec « Wild One », un peu comme une soirée qui verrait une pause dans son rythme effréné. Mais les guitares rageuses de « Makeout Party » relancent la machine de plus belle et la fête peut reprendre ! Deuxième coup de cœur avec « Straight Heart » : ce morceau nous rappelle les Foxboro Hot Tubs. Fun, dansant et entraînant, il se classe comme une belle pièce de « ¡Dos! ».

On repart dans du rock plus classique mais non moins efficace avec « Ashley ». Après « Baby Eyes », qui n'a pas vraiment trouvé grâce à nos yeux, place à « Lady Cobra ». Ce titre bien dans l'esprit du rock des années 70 est là pour introduire l'ovni du disque, voire de la discographie de Green Day : j'ai nommé « Nightlife ». Ce morceau au tempo lent propose une partie rappée par Lady Cobra du groupe The Mystic Knights of the Cobra. Un titre plutôt audacieux qui pourrait ressembler à du Gorillaz sans peine et que les fans devraient accueillir diversement. Après le bien pêchu « Wow ! That's Loud », la boucle est bouclée avec un deuxième morceau acoustique, « Amy », en hommage à Amy Winehouse, et qui répond à l'ouverture faite par « See You Tonight ». Disque plutôt cohérent dans son ensemble, « ¡Dos! » n'est pas forcément meilleur ou moins bon que « ¡Uno! » et s'inscrit pour l'instant dans le projet du groupe. Après un disque pop punk, voici un album plus rock garage. Que nous réserve « ¡Tré! » ? Le meilleur, nous l'espérons. Réponse le 10 décembre...

Tracklist

1. See You Tonight

2. F*** Time

3. Stop When The Red Lights Flash

4. Lazy Bones

5. Wild One

6. Makeout Party

7. Straight Heart

8. Ashley

9. Baby Eyes

10. Lady Cobra

11. Nightlife

12. Wow ! That's Loud
13. Amy 

La sélection de Rock'n'Live : 

« F*** Time », « Lazy Bones », « Wild One », « Straight Heart » et « Ashley ».

Retrouvez ci-dessous le clip de « Straight Heart » :

Lumières sur Harvey & The Moon

Formation rock alternative née en 2008, Harvey & The Moon développe un univers musical autour du récit imaginaire de la vie de Milla Bensley, enfant de réfugiée politique qui traversera toute l'Europe pour fuir son destin. Le groupe fait notamment appel à plusieurs voix pour construire une histoire au fil des morceaux à la manière d'un auteur de roman. Entre électro rock, conte musical pour adultes et ambiances cinématographiques, la formation ne s'impose aucune barrière musicale. Alors que des concerts sont prévus au printemps 2013, découvrez le morceau "The White Sea Canal" dans la vidéo live ci-dessous :

  LE GROUPE :

    Chant : Hant'A

    Chant : Gaëlle

    Chant, guitare et claviers : Naveed
    Guitare : Sebass
    Basse : Basstien
    Batterie et samples : Don Montana 
    Style : Rock alternatif

INFLUENCES :

    Nine Inch Nails, Depeche Mode, Marilyn Manson, Nick Cave and The Bad Seeds, Pink Floyd, Goldfrapp, Emilie Simon, Radiohead.

ALBUM OU MAXI :
    "Some Collected Stories" (Album 2010)
    Nouvel album (Mars 2013)
    Maxis disponibles sur les plates-formes de téléchargement 
     
EN UN MOT :
     Harvey & The Moon, ou le croisement singulier du rock, de l'iconographie Steampunk, et du roman noir.
 

LES TROUVER SUR LA TOILE :

     Facebook : https://www.facebook.com/harveyandthemoon
     Site : http://www.harveyandthemoon.com

 

  

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Something you might like ! (Puggy - 07/11/2012 - Trianon)

Après avoir découvert Puggy lors d'une interview en 2010 et vu le groupe jouer à l'International dans la foulée, nous avions rendez-vous avec le trio belge à l'occasion de son passage au Trianon. Alors que son nouvel album est attendu en janvier, il était évident que la formation allait présenter de nouveaux titres tout en jouant ses morceaux phares. Après un première partie pop rock plutôt sympathique – School Is Cool – Puggy est entré sur scène en interprétant deux nouveaux morceaux : « Stop Me » et « Give Us What We Want ». Choix plutôt osé que de démarrer un concert par des titres que personne ne connaît. Mais le public leur a fait un bon accueil et le sens de la mélodie a déjà rendu efficace la transposition des titres en live. Ce show a parfois ressemblé à un rodage - néanmoins déjà au point - de ce que devrait être la future tournée et devrait donner un bon indicateur à Puggy de l'accueil fait à tel ou tel nouveau morceau.

Pour ne pas perdre plus longtemps ses fans, Puggy a enchaîné avec « Goddess Gladys » et fait sauter toute la fosse du Trianon sur son sol monté sur ressort. Matthew au chant avec sa guitare électroacoustique, Romain à la basse, Ziggy à la batterie et un nouveau venu au clavier ont été parfaits de bout en bout. En fond de scène, on pouvait remarquer un décor composé de trois triangles blancs sur lesquels étaient diffusés des images. Puggy prend de plus en plus d'ampleur et on devrait les voir dans bon nombre de festivals cet été. Le bondissant « I Do » a également été vivement applaudi. Que dire de « How I Needed You » qui a valu au groupe une belle standing ovation de plusieurs minutes ! Petite surprise du set : une reprise de « Toxicity » de System of a Down, efficace et bien rageuse.

Après « Burned », nous avons eu droit à plusieurs nouveaux morceaux enchaînés à la suite : « Sdms Small », « Everyone », « Love That », « To Win the World » et « Ready ». Si « To Win the World » était connu du public puisque le clip avait été dévoilé récemment, les autres titres ont été des surprises. Cette présentation du nouvel album a été bien accueillie - si elle peut paraître surprenante - et a été l'occasion de découvrir des compositions entraînantes et des ballades déjà efficaces. Nous avons déjà hâte de découvrir l'album ! Le rappel est ensuite venu assassiner les plus fringants : « Something You Might Like », « Teaser » et « When You Know », sans laisser le temps de respirer. Une fosse en éruption, une ambiance de feu... Puggy a su retourner le Trianon sans mal. Le groupe est revenu avec un deuxième rappel : un titre plutôt calme du nouvel album dont je n'ai pas pu trouver le nom. 1h45 de concert environ et une très bonne soirée en compagnie de nos Belges préférés. Le rendez-vous est pris pour l'album et de prochains concerts !

 SETLIST

1. Stop Me

2. Give Us What We Want

3. Goddess Gladys

4. I Do

5. Simple Dreams

6. You Call Me Up

7. How I Needed You

8. Toxicity (Reprise de System of a Down)

9. Burned

10. Last Day On Earth

11. Everyone

12. Love That Feeling

13. To Win the World

14. Ready

Rappel 1

15. Something You Might Like

16. Teaser

17. When You Know

Rappel 2

 Nouveau titre

Indochine : noir c'est noir !

 

Le groupe de Nicolas Sirkis vient d'annoncer diverses informations quant à son programme des mois à venir. Son nouvel album est attendu le 11 février et il vient de mettre en ligne le single "Memoria". Le morceau rappelle quelque peu le style des albums "Wax" et "Dancetaria", disques salués par les fans à une époque où Indochine était la risée de la plupart des médias (fin des années 90-début des années 2000). Vous pouvez écouter "Memoria" ci-dessous :

Indochine a également annoncé une première partie de tournée intitulée "Black City Tour I" qui fait la part belle aux villes de province. Les visuels associés à cette tournée et ce nouvel album sont pour l'instant la vue de nuit d'une ville avec des grattes-ciels et un logo fluo sur fond noir. Voici les détails des dates :

21 février / Zénith - Nancy

22 février / L’Axone - Montbéliard

25 février / Le Scarabée - Roanne

27 février / Le Summum - Grenoble

6 mars / Parc Expo – Rochelle

8 mars / Le Scénith - Albi
9 mars / Le Palio – Boulazac
12 mars / Le Spot – Mâcon
14 mars / Le Mac 36 – Châteauroux
15 mars / Le Prisme – Aurillac
23 mars / Penfeld – Brest
25 mars / Docks Océane – Le Havre
26 mars / L’Elispace – Beauvais
29 mars / Parc Expo – Lorient
31 mars / Vendespace – La Roche-sur-Yon
2 avril / Le Kursaal – Dunkerque

Lumières sur The Long Escape

Créé en 2004, The Long Escape est une formation rock metal originaire de la région Ile-de-France. Rageur et explosif, le groupe propose des textes aux thèmes sociétaux et humanistes et s'interroge sur des questions existentielles dans un déluge de sons lourds et d'émotions. Salué par la critique spécialisé, son album "The Triptych" est paru en 2011 après un premier maxi en 2008. Son style peut être apparenté à celui de formations comme Faith No More, A Porcupine Tree ou encore A Perfect Circle. Alors qu'une tournée est en préparation pour 2013, découvrez le titre "Crisis" dans la vidéo ci-dessous :

  LE GROUPE :

    Chant et guitare : Kimo

    Guitare : Marius

    Basse : y4NN0ux
    Batteur : Tom
    Style : Rock metal

INFLUENCES :

    Sevendust, A Perfect Circle, Tool, Porcupine Tree, Faith No More.

ALBUM OU MAXI :
    "The Triptych" (Album 2011)
    "Excess of Empathy" (Maxi 2008)
     
EN UN MOT :
     Un groupe qui ne fait qu'un et qui vous transporte dans un univers lointain et profond.
 

LES TROUVER SUR LA TOILE :

     Facebook : https://www.facebook.com/thelongescape

     Site : http://www.thelongescape.com/

     MySpace : http://www.myspace.com/thelongescape1

 

  

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Brian was not in the kitchen ! (The Gaslight Anthem - 04/11/12 - Cigale)

Après avoir découvert le groupe à l'occasion de la sortie de son album « Handwritten » - mieux vaut tard que jamais - nous étions plutôt impatients de voir pour la première fois The Gaslight Anthem en live. Ayant espéré un petit passage à Rock en Seine (peut-être en 2013?), nous avions rendez-vous à la Cigale où le groupe de Brian Fallon était de passage à l'occasion de sa tournée. Réglée comme du papier à musique, la soirée a débuté un peu avant 19h avec la prestation très sympathique de Dave Hause, qui accompagne The Gaslight Anthem sur les routes avec son projet solo, alternant morceaux rock à la guitare électrique et titres plus calmes à la guitare acoustique. Une bien belle découverte pour un artiste généreux qui a pu compter sur le soutien de quelques fans dans la salle. Après une deuxième première partie – Blood Red Shoes – que nous avons moins apprécié en raison du manque de variété des titres et d'un mélange des styles un peu raté selon nous, The Gaslight Anthem est arrivé sur scène à 20h50 au son de « Mae ».

Assurément heureux d'être sur scène, sourire aux lèvres en permanence, le chanteur Brian Fallon a communiqué son enthousiasme à un public bien chaud tout au long du concert. La salle, montée sur ressort, a bien vacillé durant tout le set, grâce à une fosse réceptive et au taquet sur chaque morceau. Petit détail marrant : les Gaslight Anthem sont certainement une bonne bande de geeks à en juger des figurines posées sur les amplis avant le concert. Nous avons également pu voir leur petite manie de se donner une tape sur les fesses entre eux pour se marrer ! Après « Mae », la salle s'est embrasée pour ne plus s'éteindre. L'enchaînement « The '59 Sound », « Handwritten », « Old White Lincoln », « 45 » et « Here Comes My Man » a été impeccable. Brian Fallon a indiqué en début de concert qu'il appréciait la France, un pays où l'on servait des sandwichs juste comme il fallait à l'inverse des États-Unis où tout est toujours trop démesuré.

Le concert a fait la part belle aux albums « Handwritten » et « The '59 Sound ». Certains ont peut-être regretté qu' « American Slang » ait été un peu délaissé dans la setlist, même s'ils ont certainement dû apprécier l'interprétation du titre éponyme avec Dave Hause en rappel. « Film Noir », « Howl », « Too Much Blood »... The Gaslight Anthem a communié de bien belle manière avec ses fans. Du bon rock sans fioriture comme on l'aime. Après « The Backseat », le groupe est revenu pour un rappel de cinq titres avec notamment « Mulholland Drive », une reprise des Misfits (« Astro Zombies ») et un final sur un « Great Expectations » où un ultime pogo a surgi au milieu de la fosse. On attendait beaucoup de ce concert et nous pouvons le dire haut et fort : nous n'avons pas été déçus. 1h30 de concert, nous aurions voulu un peu plus, ce sera peut-être pour la prochaine fois. C'est avec grand plaisir que nous irons en tout cas de nouveau applaudir The Gaslight Anthem à l'avenir. Nos « Great Expectations » se transforment en « Huge Congratulations ».

SETLIST

1. Mae

2. The '59 Sound

3. Handwritten

4. Old White Lincoln

5.45

6. Here Comes My Man

7. I'da Called You Woody, Joe

8. Angry Johnny and the Radio (avec un passage de "Blood Bank" de Bon Iver)

9. Film Noir

10. Howl

11. Casanova, Baby !

12. Too Much Blood

13. The Patient Ferris Wheel

14. The Queen of Lower Chelsea

15. Here's Looking at You, Kid

16. The Backseat (avec un passage de "Just Like Heaven" de The Cure)

Rappel

17. She Loves You

18. Mulholland Drive

19. Astro Zombies (reprise des Misfits)

20. American Slang (avec Dave Hause)

21. Great Expectations